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 dossier ovnis: roswell

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stimata
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MessageSujet: dossier ovnis: roswell    dossier ovnis: roswell  EmptyMer 2 Nov - 21:42

voici un texte que j'ai trouvé et qui m'a interessé! donc je le mets ici.


Mercredi 11 mars 2009

Un nouveau témoin de Roswell a été retrouvé... Un nouvel article de Anthony Bragalia sur le site web "The UFO Reality" est titré : "Un pompier de Roswell le reconnait : C'était une soucoupe volante !"

"Un pompier qui faisait partie de l'unité de Roswell en 1947 a confirmé que le mystérieux crash survenu cet été-là dans le désert du Nouveau-Mexique, était en fait celui d'un engin extra-terrestre !

Aujourd'hui âgé de 90 ans, il m'a révélé cette information extraordinaire lors d'une interview récente.


L'auteur réputé Kevin Randle, spécialiste de Roswell, s'est également entretenu avec lui, pour se faire confirmer les détails de l'histoire.

Il y a quelque temps déjà, j'avais pu localiser le fils de Rue Chrisman. Il était le Chef de la caserne de Roswell en 1947. Il est mort en 1981, à l'âge de 98 ans.

Le fils de Chrisman m'a expliqué qu'il était au courant de l'implication de la caserne municipale au moment du crash. Mais il n'était pas très bavard, il ne souhaitait pas en dire plus.

Malgré mon insistance, il s'était contenté de répondre : "C'est arrivé. Il y a eu une grosse opération de couverture. Le crash a bien eu lieu." Je lui ai demandé comment il était au courant; il a marqué une pause avant de répondre : "J'en ai connu des tas qui savaient."



Je lui ai ensuite demandé si d'autres pompiers de cette époque étaient encore en vie. Il m'a répondu qu'il n'en restait plus qu'un seul. Il avait seulement souhaité le surnommer "Smith", et préciser qu'un des membres de sa famille fréquentait la même église. En travaillant de concert avec Kevin Randle, nous avons pu identifier et localiser ce vieil homme et solliciter son témoignage.

Lorsque nous l'avons abordé, le pompier était d'abord hésitant pour évoquer le sujet. Mais nous l'avons peu à peu mis en confiance. Au cours de notre entretien, le pompier nous a confié ces détails incroyables :

- Juste après le crash, la caserne de pompiers avait reçu la visite assez impressionnante d'un Colonel du camp militaire de Roswell. Le Colonel avait expliqué aux pompiers présents ce jour-là que "un objet inconnu venu d'ailleurs" s'était écrasé dans le désert autour de Roswell. Le Colonel avait bien précisé que personne, jamais, ne devrait dire un mot à quiconque concernant cette affaire. Il avait également interdit que les hommes se rendent sur le lieu de l'incident, ou répondent à la moindre demande d'information à ce sujet. Il avait conclu en disant que "tout était pris en charge par les militaires."


- Dan Dwyer, un autre pompier de la même brigade, s'était quand même rendu sur le lieu de crash, malgré les ordres du Colonel. Il a confirmé certains des détails que Frankie Row, la fille de Dan Dwyer, avait mentionnés à l'occasion de nombreuses interviews au fil des années. Frankie a soutenu que son père avait pu voir l'engin et ses occupants.

- Dan lui a rapporté que tout le secteur autour de l'incident était sécurisé et contrôlé par des gardes armés. Le pompier s'était rendu sur place de son plein gré, pas dans le cadre de ses fonctions.

Cependant il ne souhaitait pas s'étendre sur ce que Dan Dwyer et Frankie Rowe avaient raconté.



- L'objet qui s'était crashé n'était pas un engin terrestre. Le pompier nous a expliqué que ce n'était pas un ballon ni une sorte d'expérience militaire. Il a dit que c'était un "Ovni". Quand je lui ai fait remarquer que le terme "Ovni" n'était pas utilisé à l'époque... il a répondu que c'était "non-identifié - une soucoupe volante." Je lui ai demandé comment il pouvait le savoir, et il m'a dit qu'il en était certain parce que "c'est ce qu'on m'avait dit quand c'est arrivé". Il a expliqué que le Colonel ne savait pas de quoi il s'agissait, ni d'où ça venait... et que cette situation était très préoccupante.

- Le Maire de Roswell était également au courant de l'incident, et il s'était rendu à la caserne de pompiers en usant de son autorité pour ordonner à la brigade de garder le silence au sujet du crash. Le pompier ne se souvenait pas du nom du Maire à l'époque, mais je savais qui c'était. Lorsque j'ai prononcé le nom de "C.M. Woodbury", il m'a répondu que ça pouvait être lui. En fait, C.M. Woodbury était un personnage très intimidant, avec lequel il fallait compter. C.M. Woodbury avait été surnommé "Iron Major" (le Major de fer) - c'était un vétéran médaillé du célèbre 752ème Bataillon de Chars.



Woodbury était aussi très proche de Butch Blanchard, le Commandant de la base aérienne militaire de Roswell.

- La caserne de pompiers de la base aérienne militaire de Roswell (RAAF) avait été largement impliquée dans les opérations de récupération sur le lieu de crash. Le pompier nous a expliqué que "c'était pourquoi il y avait eu une telle confusion". La caserne qui avait été impliquée était celle de la base, et non celle de la ville. Il nous a affirmé que les pompiers de la RAAF étaient "les plus au courant" au sujet de l'incident. Il ne ne souvenait malheureusement pas des noms de ces pompiers.

- Le bureau du Shérif de Roswell avait été mouillé dans la couverture du crash. Le pompier nous a dit savoir que l'adjoint Tommy Thompson, au bureau du Shérif, était celui qu'on avait chargé de "calmer le jeu"


- Lorsqu'on lui a demandé comment "il assumait le fait qu'un engin d'un autre monde se serait écrasé près de Roswell", le pompier nous a répondu qu'ils n'avaient pas la moindre idée de ce que ça pouvait impliquer, parce que "nous ne pensions pas à ce genre de choses à l'époque, mais aujourd'hui c'est différent."



Le témoignage du pompier est exceptionnel. Il confirme que le crash de Roswell en 1947 était celui d'un objet inconnu. C'est donc un témoignage.

Je connais les aléas des "témoignages". Ils tendent à véhiculer des affirmations, qui se voudraient des preuves. Tous ont ce problème inhérent.

La fiabilité et la sincérité du témoin ne peuvent être évalués que sur un récit, et non sur des documents, des photos, ou autres preuves physiques.

Je reconnais que les confidences du pompier ne suffisent pas à démontrer que le crash de Roswell était d'origine extraterrestre.



Cependant, quand c'est le témoignage d'une personne authentique - qui ne s'est pas mise en avant mais qu'on a fini par "découvrir", nous devrions lui accorder toute notre attention. Et la réalité de l'événement ne repose pas seulement sur la parole du témoin. Mais le témoignage du pompier est particulièrement important parce qu'il n'avait jamais cherché auparavant à se faire connaître, pour raconter son histoire, et il n'a aucune raison ou motivation évidente de nous mentir.

L'identité du pompier ne sera pas divulguée de son vivant. Il vit ses dernières années paisiblement, entouré de sa famille. L'auteur Kevin Randle s'est entretenu plus longuement avec lui, et il estime également qu'on doit préserver le vieil homme d'une avalanche d'appels des sceptiques et autres curieux.

On a coutume de dire que lorsqu'il s'engage chez les pompiers, un homme a déjà accompli son plus grand geste de bravoure. Cependant, dans ce cas, le plus grand acte de courage ce vieux pompier a consisté à nous raconter ce qu'il savait de l'incident de Roswell, au nom de l'histoire et de la vérité." -
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MessageSujet: Re: dossier ovnis: roswell    dossier ovnis: roswell  EmptyMer 2 Nov - 21:48

Mardi 14 Avril 2009



Soixante-deux ans plus tard, les tentatives de l'US Air Force de couvrir l'incident de Roswell continuent de prendre l'eau de tous côtés. Le chercheur Anthony Bragalia s'était déjà illustré le 11 mars dernier, en recueillant le témoignage d'un pompier de la ville, confirmé par Kevin Randle.

Cette fois, il a reçu les confidences du Lieutenant-Colonel Raymond Madson, aujourd'hui âgé de 79 ans. C'est lui qui dirigeait le programme de largage des mannequins. Il dénonce comment un officier du Renseignement de l'Air Force, le Capitaine James McAndrew, a utilisé les informations qu'il lui avait confiées pour fabriquer un rapport mensonger.


Le rapport officiel publié par l'Air Force en 1997 devait établir que le crash de Roswell en 1947 n'était qu'un "mythe". Raymond Madson explique aujourd'hui ce qui s'est passé. Le Colonel va plus loin, puisqu'il pense que des aliens ont été victimes de ce crash.

Il a raconté à Anthony Bragalia comment il avait été "utilisé" par un agent "en mission", chargé de produire une version de commande, mais nullement intéressé de savoir ce qui s'était réellement passé à Roswel



Ce "Rapport sur Roswell : Affaire classée" a servi à déboulonner l'incident. Il avait été présenté par l'US Air Force comme la version officielle et définitive. Le Capitaine McAndrew y expliquait que les témoins avaient confondu les prétendus cadavres d'aliens avec des mannequins largués en haute altitude pour effectuer des tests.

McAndrew s'était attaché à faire croire que les fermiers locaux avaient été victimes de méprises en voyant ces pantins écrasés au sol, et les avaient pris pour des créatures d'un autre monde. Précédemment, un autre rapport de l'Air Force sur Roswell avait conclu que le "vaisseau" dont avaient parlé les témoins n'était qu'un ballon-espion, relevant du projet top-secret "Mogul".

"Raymond Madson m'a récemment raconté qu'il avait été le responsable entre 1956 et 1960 du Programme des mannequins, connu sous le nom de "High Dive", devenu Excelsior, à partir de la base AF de Holloman.




Il avait conçu et dirigé les tests qui consistaient à larguer des modèles anthropomorphes depuis des ballons évoluant entre 17.000 et 30.000 mètres. Ils faisaient partie d'un programme qui consistait à perfectionner l'éjection à haute alitude de pilotes dotés de parachutes. Il avait analysé les problèmes afin de perfectionner les systèmes destinés aux futurs avions."

Le Capitaine McAndrew avait passé deux jours avec Madson.


Son rapport cite extensivement son travail, et reproduit les nombreuses images qu'il lui avait confiées. On y trouve même son affidavit du 20 juin 1995 aux pages 180-181. Madson constate que s'il avait effectivement écrit à la demande de McAndrew : "on aurait pu confondre les mannequins avec autre chose" - il lui avait néanmoins précisé qu'ils seraient très loin de pouvoir passer pour de petits êtres aliens ! Raymond Madson avait ajouté que tout le monde était bien au courant qu'il s'agissait de sortes de "grosses poupées".



Il avait surtout averti McAndrew que la période concernée, où ces tests avec les mannequins avaient commencé (1956), ne pouvait coller avec l'époque du crash de Roswell - il y avait un décalage de plusieurs années. Finalement Madson avait dit à McAndrew que "nos tests nécessitaient des mannequins de 2 mètres, parce qu'ils devaient représenter de grands adultes. Les aliens dont il avait été question à Roswell avaient parait-il des tailles d'enfants."

McAndrew avait entendu ses objections, mais n'avait pas semblé réagir.

"En fait, le rapport final de McAndrew sur Roswell n'avait tenu aucun compte des avis de Madson ! Il était devenu évident que McAndrew ne souhaitait publier que les commentaires susceptibles d'accréditer sa thèse. McAndrew avait cité Madson, mais sans tenir compte de ses avis sur ce qui avait pu réellement se passer à Roswell !"



"Madson atteste que McAndrew a fidèlement reproduit ses paroles, mais le contexte du rapport induit le lecteur en erreur. Au fond, Madson pense qu'on "s'est servi de lui". Il n'était pas du tout d'accord pour accréditer l'idée que ces mannequins avaient pu tromper les témoins. Madson m'a précisé que les mannequins portaient des marquages, et des instructions pour les rapporter en cas de découverte, contre une récompense de 25 dollars. C'était pour lui une autre raison pour laquelle l'explication de l'Air Force ne pourrait tenir la route. En fait, McAndrew n'avait cherché qu'à obtenir de Madon tous les détails nécessaires sur le programme de larguage, et qu'il était seul à connaître, pour construire le rapport de déboulonnage requis par l'Air Force."

Madson s'était plié à cette requête, mais il avait ressenti "un certain malaise". Il se demande aujourd'hui pourquoi l'US Air Force s'était sentie obligée à l'époque de fournir une explication au sujet d'éventuels "cadavres" aperçus sur le lieu d'un crash "qui n'était pas censé avoir eu lieu". Il ajoute : "Je me rends compte maintenant que la démarche n'était pas logique.



"J'ai évoqué avec Madson le fait que l'Air Force avait déjà précédemment (en 1994) publié un "rapport final" sur Roswell, en expliquant qu'il s'agissait du crash d'un ballon Mogul top-secret ["The Roswell Report: Truth Versus Fiction in the New Mexico Desert"]. Pourquoi alors, trois ans plus tard (en 1997) produire un autre rapport avec cette fois l'explication des mannequins ? Si c'était un ballon, l'enquête devait se terminer là. En paraphrasant Shakespeare (Hamlet), "Nous pensons qu'ils protestent trop". McAndrew s'était montré tellement opposé à l'idée qu'il puisse s'agir d'un crash alien, qu'il avait perdu tout crédibilité et révélé ses motivations cachées."

Madson est devenu plus explicite : "Je n'avais pas confiance en McAndrew. En fait, je n'aimas pas du tout le personnage. Je n'appréciais pas ses procédés." L'auteur du rapport ne lui avait retourné aucune des photos qu'il lui avait fournies. Madson se souvient qu'après avoir lu le rapport de l'Air Force - et choqué de son contenu - il avait appelé plusieurs fois McAndrew, mais que l'autre n'avait jamais donné suite. Il s'était demandé s'il n'aurait pas du s'adresser à ses supérieurs.



"Il est révélateur d'entendre Madson déclarer : "McAndrew avait une mission à remplir." Il n'a aujourd'hui aucun doute que McAndrew "n'agissait que dans un seul but", et qu'on attendait de lui "un certain résultat." Je lui ai demandé si McAndrew avait cherché à connaître la vérité sur Roswell... Madson m'a simplement répété : "Non, il était en mission." J'ai insisté pour savoir si à son avis McAndrew avait lui-même pu croire à ses propres conclusions. Il a fait une pause, et il a répété : "McAndrew avait clairement un objectif."

Madson ne craint pas d'affirmer que l'Air Force avait utilisé son programme de largage de mannequins pour produire une explication peu convainquante, et servir de couverture à une affaire de crash d'aliens.

"En réalité Madson pense qu'un crash extraterrestre a bien eu lieu, et que les corps ont été conservés pendant quelque temps sur la base de Wright Patterson ! Il se fonde sur le fait d'avoir lui-même servi sur WP au début des années 50, avant de rejoindre Holloman AFB pour y conduire ses tests de mannequins.

Quelques années après l'incident de Roswell, des collègues "qui étaient bien placés pour être au courant" lui avaient raconté que la base disposait d'une installation "hautement sécurisée" où avaient été conservés les cadavres aliens récupérés lors d'un crash survenu avant son affectation. Bien qu'il fut très intrigué, il m'a expliqué que "à cette époque on ne posait pas trop de questions :

Je pense que mes collègues en parlaient sérieusement, mais que le sujet était particulièrement sensible.

" Madson estime aussi que des programmes de rétroconception doivent exister, mais qu'ils ne sont pas accessibles à ceux qui ne peuvent justifier du 'Besoin de savoir'."

Anthony Bragalia note que le Colonel Madson a rencontré sa future épouse sur la base de Wright au début des années 50. "Mme Madson était employée comme secrétaire au laboratoire médical. Chose étonnante, elle avait eu vent des mêmes "rumeurs" que son futur mari.

Certains de ses collègues lui avaient parlé de ces petits êtres, comme des enfants, qui venaient "d'un autre monde" et s'étaient crashés sur Terre. Ils avaient été récupérés, peu avant son arrivée, ramenés à la base, et on les avait étudiés en secret.

"
Madson conclut : "Nous savions à l'époque que nous ne devions pas trop échanger sur le sujet. Mais aujourd'hui, elle y pense très souvent, et moi aussi."
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