Sur les milliers de personnes qui affirment avoir été enlevées par des entités extraterrestres, un pourcentage non négligeable indique également que des implants ont été insérés dans diverses parties de leurs corps. Et certaines extractions chirurgicales semblent leur donner raison, comme le confirme le Dr Roger Leir, un célèbre chirurgien américain qui déclare avoir extrait au cours de sa carrière 13 implants d’origine inconnue ! Dans quel objectif ‘puce’-t-on ainsi certains de nos concitoyens ? Le Monde de l’Inconnu fait le point sur ce sujet souvent ignoré car très controversé. « Les implants supposés extraterrestres ont donc cette particularité étrange : il n’y a aucun rejet physique du sujet, comme si le corps s’accommodait parfaitement de cette intrusion d’un objet étranger »
Un chirurgien expose ses preuves extraterrestres
La conférence animée par le Dr Roger Leir qui s’est tenue en septembre 2007 en Nouvelle-Zélande nous rappelle une chose : les implants de nature inconnue que l’on retire chez certains individus demeure un phénomène intrigant, encore plus lorsque ces personnes affirment avoir été enlevées par des entités non-humaines peu de temps auparavant ! Or le Dr Leir, qui s’intéresse à ce délicat sujet depuis plus de 10 ans, estime qu’avec son équipe chirurgicale en Californie, il aurait retiré au cours de sa carrière en tant que chirurgien du pied pas moins de 13 implants extraterrestres sur ses patients. Implants d’origine non-identifiée donc, et dont la composition laisse sceptiques les scientifiques… Car selon ce même docteur, déjà auteur de plusieurs ouvrages sur le sujet - dont ‘The Aliens and the scalpel’ -, de nombreux laboratoires américains prestigieux (le Los Alamos National Laboratory, le New Mexico Tech et l'Université de Californie à San Diego entre autres) ont analysé les implants
Des analyses poussées en laboratoire
Lors de sa conférence il y a quelques semaines, le Dr Leir a en effet insisté sur le fait que « les implants montrent des anomalies dans leurs structures métallurgiques et biologiques ». Les comptes-rendus d’analyses menées en laboratoire sont pour le moins troublants : « La découverte intéressante est que la membrane autour des objets était composée de matériel du propre corps des patients avant qu'ils n'aient été insérés. En fait, si la médecine pouvait reproduire cela, nous pourrions réaliser des procédures d'implant sans risque de rejet » s’enthousiasme le podologue américain, qui poursuit son analyse des résultats des tests scientifiques. « 4 objets métalliques étaient recouverts par une membrane d’aspect gris sombre et brillant, qui ne pouvait être ouverte avec une lame chirurgicale. Cette membrane s’est avérée être composée d’un coagula protéinique, d’hémosidérine et de kératine. Ces 3 substances existent naturellement dans le corps, mais notre investigation n’a permis de trouver aucune combinaison de cette sorte dans la littérature médicale. Les tissus mous adjacents aux objets métalliques ont été aussi analysés, et il a été trouvé qu’ils comportaient des conglomérats de cellules nerveuses, et qu’il y avait aucune réaction d’inflammation ». Les implants extraits par le Dr Leir du corps de ses patients ont donc cette particularité étrange : il n’y a aucun rejet physique, comme si le corps s’accommodait parfaitement de cette intrusion d’un corps étranger. Par ailleurs, l’implant est souvent inséré sans qu’aucune cicatrice extérieure ne soit visible sur le corps, à l’exception des scoop-marks (voir notre encadré). « Il est étrange que mon équipe n'ait pu trouver aucune plaie d'entrée, et que la structure moléculaire de la peau des sujets et d'autres tissus n'ait pas été endommagée » confirme le Dr Leir.